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30 janv. 2015

En France, bientôt des frais de scolarité plus élevés pour les étrangers?


Dans un rapport intitulé Investir dans l’internationalisation de l’enseignement supérieur, présenté le 27 janvier, France Stratégie, un organisme public de réflexion et de prospective placé sous l’autorité du Premier ministre français, propose d’instaurer des frais de scolarité beaucoup plus élevés pour les étudiants étrangers inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur de l’Hexagone.

Cette mesure est présentée comme un moyen de financer l’internationalisation de l’enseignement supérieur français. Si les experts tiennent à préciser que cette manne financière ne doit pas conduire à une diminution des dépenses publiques équivalentes, mais doit être utilisée pour investir, le rapport évoque quand même « le défi financier dans un contexte de contraintes budgétaires ».

12 000 euros pour s’inscrire en master

Deux scénarios sont évoqués : l’un propose d’imposer des frais de 2 000 euros (21 600 dirhams, soit 20 % du coût total de la scolarité) pour les niveaux master et doctorat, et laisser les frais de licence très bas. Le rapport note cependant que cette alternative ne suffit pas à financer l’internationalisation de l’enseignement supérieure voulue.

L’autre scénario suggère carrément une augmentation à coût complet, mais sélective. Dans cette hypothèse, les étudiants étrangers paieraient ainsi 6 000 euros au lieu des 183 euros actuels pour leur inscription en licence, 12 000 euros au lieu de 254 euros pour un master et 15 000 euros au lieu de 500 pour une scolarité en école d’ingénieur. Les frais d’inscription pour les doctorants seraient maintenus à 388 euros, une manière d’attirer les étudiants les plus qualifiés, comme c’est le cas en Suède par exemple. Ce second scénario permettrait de collecter 850 millions d’euros par an.



Ce scénario ferait mécaniquement baisser le nombre d’étrangers inscrits les premières années, mais un rééquilibrage se ferait au bout de dix ans, d’après les estimations basées sur les comparaisons avec les expériences ailleurs en Europe.

Source: Telquel

27 janv. 2015

La belle histoire du jour : un an plus tard, un ex-chômeur recrute là où il a été embauché


Il y a un an, Alfred Ajani était prêt à tout pour trouver un travail. Ce jeune homme de 22 ans s'était donc posté, en costume-cravate, dans la gare de Waterloo, à Londres, muni d'une pancarte toute simple : "diplômé de marketing de l'université de Coventry, Demandez un CV". Une initiative qui a porté ses fruits, puisque le jeune homme audacieux a trouvé un travail rapidement, au sein du département des relations publiques d'une entreprise de recrutement, le groupe Astoria.
"Prenez des risques"
Celle-ci avait trouvé qu'Alfred avait fait preuve d'originalité pour gagner l'attention des médias et espérait qu'il fasse de même une fois embauché. Et ça n'a pas manqué. quelques mois plus tard, le groupe a lancé une vague d'embauche de nouveaux consultants. Et Alfred a décidé de descendre à nouveau dans la gare, cette fois muni d'une pancarte : "J'embauche".
Là encore, l'audace d'Alfred devrait payer puisque de nombreux médias ont relayé son initiative. Un coup de pub inespéré - et gratuit - pour sa nouvelle agence. "Le conseil que je donnerais à tous les diplômés serait de ne pas avoir peur de prendre des risques, disait, il y a un an, son nouveau directeur. Soyez prêts à vous vendre et à vendre vos idées."
Et avec un peu de chance, les futurs candidats pourront même être recrutés directement dans la gare. Les bureaux d'Astoria sont situés juste en face. 
Source: Metronews

22 janv. 2015

Les finalistes du concours Global Social Venture Competition (GSVC)



Sélectionnées parmi 140 candidats provenant des pays francophones d’Europe, du Canada, d’Afrique et du Moyen Orient, les 11 finalistes du concours Global Social Venture Competition (GSVC) présenteront leur projet le 5 mars à Paris, pour décrocher l’une des deux places à la finale mondiale qui aura lieu du 8 au 10 avril à l’Université de Berkeley, à San Francisco.

Innovation, ambition, entrepreneuriat, impact social … sont les maîtres mots de cette compétition exigeante, qui met en lumière les entrepreneurs sociaux de demain, aux quatre coins du monde !

Coordonnée au niveau international par Berkeley et par l’ESSEC, soutenue par la Fondation Deloitte sur toute la zone francophone, la Global Social Venture Competition (GSVC) est la seule compétition internationale de business plans à portée sociale et environnementale, dédiée aux étudiants et jeunes diplômés.

Cette année la GSVC ce sont :

11 équipes retenues et accompagnées par deux mentors professionnels et étudiants pendant trois mois

2 finalistes qui défendront à Berkeley leur projet …

25 000$ mis en jeu pour le premier prix!

Les 10 projets francophones finalistes de la GSVC

Parmi les finalistes, des projets à très fort impact environnemental comme Cophenol qui permet de valoriser les déchets de café grâce à un procédé chimique de bioraffinerie. 

BioPanneaux a conçu un procédé de valorisation de déchets, cette fois de coton et papier, pour la conception de panneaux isolants. 

Ecoco (Burkina Faso) propose un nouveau type coffrage de construction, conçu à partir de plastiques recyclés moins chers, plus légers, réutilisables jusqu’à 50 fois. 

Gold of Bengal valorise la fibre de jute en proposant le premier renfort technique de celle-ci, le "Pàt", capable de remplacer la fibre de verre dans un large panel d'applications.

Dans le domaine agricole, Senemar+ (Cameroun) propose un ensemble de solutions technologiques avancées pour la valorisation de l’agriculture rurale. 

Dans le domaine médical, Solar Smile fournit aux dentistes une valise dentaire fonctionnant à l’énergie solaire qui leur permettra de soigner les patients dans les endroits les plus reculés, non desservis par l’électricité. Unité Mobile d’Hémodialyse permet d’élargir la zone de couverture des soins en dialyse en proposant l’aménagement de semi-remorque en unités médicalisées mobiles.

Gifted Mom (Cameroun) a développé un kit diagnostic mobile, simple et innovant qui permet d’effectuer 15 tests diagnostiques pour femmes enceintes, nouveau-nés et personnes vivant dans des communautés pauvres et reculées. 

E-donor’s community (Liban) est plateforme qui met en contact des malades avec des donneurs de sang compatibles à l’aide d’un algorithme spécifique.
Ecoref embauche des personnes sans emploi pour la conception et la commercialisation de pots réfrigérants qui fonctionnent grâce à l’évaporation de l’eau. 

Enfin, Y Generation développe une nouvelle forme d’apprentissage avec coaching personnalisé et parcours pédagogique innovant pour améliorer l’employabilité de jeunes issus de milieux défavorisésdans les pays en développement.

Source: GSVC Francophone

21 janv. 2015

Histoire d’un prodige qui protège les géants du Net tels que Google, Twitter et Adobe



Parti de rien, un jeune Meknassi a réussi à s’imposer dans le monde de la sécurité informatique. Histoire d’un prodige qui protège les géants du Net.

À seulement 27 ans, il est à la tête de l’une des start-up les plus en vue. Basée à Montpellier, Ziwit SAS, la société créée par Mohamed Boumediane, fait dans la sécurité des applications Web et compte parmi ses clients les plus grandes entreprises du domaine. « Notre outil est tellement complet qu’il est aujourd’hui utilisé par Google, Twitter et Adobe, qui n’hésitent pas à me remercier publiquement ainsi que mon équipe ». Sa société, qui a doublé son chiffre d’affaires, brasse désormais dans les 30 millions d’euros. Le tout grâce à l’outil de détection de failles de sécurité baptisé HTTPCS que ce jeune PDG a su développer.

Après l’obtention de son baccalauréat, avec la note exceptionnelle de 19,5/20 en mathématiques, il se lance en toute logique dans des études d’informatique. Destination, l’université de Limoges en France pour y décrocher un master en sécurité d’information et cryptologie. « Plutôt que de sortir s’amuser avec nous, il préférait passer des journées entières devant des pages noires sur son PC », se souvient un camarade de fac. En parallèle, Boumediane participe à des concours de « white-hacking » et de cyber-sécurité qui lui permettent d’approfondir son expertise, sollicitée aujourd’hui par les plus grands groupes internationaux.

Parcours d’exception

En plus de gérer son entreprise, Mohamed Boumediane est enseignant vacataire dans plusieurs grandes universités, telles que l’université Mohammed V à Rabat ou l’American University of Beirut. Il est en parallèle consultant en cyber-sécurité, cybercriminalité, cyber-armement et cyber-guerre pour plusieurs pays membres de l’OTAN. Son expérience lui permet d’intervenir et d’organiser des conférences aux quatre coins du globe, à l’image du « Web deux connect » à Paris (un événement rassemblant le noyau des communautés de passionnés d’Internet) ou le « Dreamforce » à San Francisco. 

Source: telquel

19 janv. 2015

Hadeel Ibrahim (29 ans): Fille de milliardaire « Leadership d’excellence »



Hadeel Ibrahim (29 ans) fait partie des jeunes leaders africains qui pensent qu’une autre Afrique est possible.

La fille du milliardaire Mo Ibrahim – Forbes estime la fortune du Soudanais à 2,5 milliards de dollars et le classe parmi les hommes influents de la planète- directrice exécutive de la fondation qui porte le nom de son père, a initié depuis 2006, le prix du « Leadership d’excellence » censé récompenser la bonne gouvernance sur le continent africain. Ce prix d’une valeur de 5 millions de dollars US destiné aux chefs d’Etat africains n’a pas trouvé de preneur pour la quatrième fois consécutive.

Membre du conseil d’administration de la Fondation Mary Robinson – Climate Justice ( MRFCJ), Hadeel Ibrahim, milite en faveur du bien être des victimes des conséquences du changement climatique.

Les démunis et les vulnérables ne sont pas l’unique priorité de la jeune anglo-soudanaise. Hadeel Ibrahim, œuvre également pour la préservation du patrimoine culturel par son engagement dans le programme LEAP de l’UNESCO.

En février 2014, Hadeel a présenté à Barcelone (Espagne) lors d’une conférence des chefs de gouvernements, une communication sur l’utilisation sociale des téléphones portables. Elle a démontré que l’utilisation généralisée des téléphones mobiles participe à l’autonomisation des individus en augmentant leur productivité et améliorer leur accès aux services de base à la fois en temps de paix et de catastrophe.

Dans le cadre de la célébration de l’édition 2014 de la journée internationale de la femme, Hadeel Ibrahim a été classée par le magazine Jeune Afrique parmi les 20 femmes qui font bouger l’Afrique.

Source: Africa Top Succes

14 janv. 2015

Ryad Boulanouar, penser la banque autrement



Une fois vendue ABM Technologies, la société de services informatiques spécialisées dans les services prépayés à base de cartes à puces qu’il avait fondée en 2000, Ryad Boulanouar avait fortune faite. «J’aurais pu arrêter de travailler… 

Mais après 15 jours d’inactivité, je m’ennuyais», résume l’entrepreneur, aujourd’hui âgé de 41 ans. Il décide alors de «chercher un truc» dans lequel s’investir. Le «truc», ce sera Compte Nickel. Surfant sur la libéralisation des établissements de paiement initiée par Bruxelles en 2009, il imagine une façon de bancariser les populations les plus fragiles en leur proposant des comptes prépayés, sans découvert autorisé, sans crédit et sans épargne, distribués par le biais des bureaux de tabac. Un réel défrichage… Qui lui prendra trois ans, au lieu des 3 mois qu’il avait initialement prévus pour mettre son projet sur pieds. 

Il attache une grande importance à ce que ce système ne dépende pas de subventions : il doit être rentable pour perdurer. Aujourd’hui, 50000 clients utilisent les comptes nickel, 27% sont des personnes sans revenus fixes ou des chômeurs… 

Mais la moitié sont des salariés gagnant autour de 1300 euros par mois, à qui la banque traditionnelle ne s’adresse pas ou coûte trop cher. Ryad Boulanouar veut maintenant étendre son défrichage au domaine du crédit et de l’épargne, mais aussi à celui de la santé, où il pense pouvoir être « utile».


Source: L'opinion

9 janv. 2015

the tony elumelu foundation entrepreneurship programme



Le 1er décembre 2014, l’investisseur milliardaire et philanthrope nigérian Tony Elumelu annonçait qu’il allait consacrer 100 millions de dollars à la création de 10 000 entreprises à travers l’Afrique au cours des 10 prochaines années.

Ce programme est une initiative entrepreneuriale panafricaine de la Fondation Tony Elumelu, qui s’étend sur plusieurs années et comprend des formations, des financements et du mentorat, pour booster la prochaine génération d’entrepreneurs africains.

Le programme a pour objectif d’identifier et d’aider à développer 10 000 start-ups et jeunes entreprises africaines au cours des 10 prochaines années avec l’objectif de créer 1 million de nouveaux emplois et 10 milliards de dollars de revenus annuels.

Les sélections pour le TEEP sont ouvertes jusqu’au 1er mars 2015. Elles se font entièrement en ligne via le site de la fondation dans trois langues : anglais, français et portugais.

Les 1 000 entreprises choisies bénéficieront de formations en ligne pendant 12 semaines. Par la suite un bootcamp ainsi qu’un grand forum (le Elumelu Entrepreneurship Forum) sera organisé entre juillet et août 2015. Les startups devront compléter leurs business plans vers la fin de l’année 2015 et celles qui auront fini le programme avec succès bénéficieront de deux Rounds de financements : un premier investissement au capital de 5000 dollars puis, selon les cas, un second (dette ou capital) du même montant en cas de progrès suffisant dans la réalisation des business plans.

Source : afriqueitnews