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29 oct. 2014

Africa SME's Champion Forum


Les promoteurs du Forum Africa SME Champion ont tenu ce mercredi 15 octobre une conférence de presse au Radisson Blu Hotel de Dakar, pour annoncer le lancement du forum qui se tiendra les 11 et 12 Novembre prochain au King Fahd Palace Hotel-Dakar.
Cette conférence a permis aux organisateurs de rappeler la principale mission du forum qui est de permettre à 300 PME Africaines à forte croissance d’être soutenues par de fortes institutions financières.
Les PME sont donc invitées à s’inscrire à ce forum.
Toutes les informations relatives aux critères d’éligibilités sont disponibles ici :
https://www.surveymonkey.com/s/VersionFrancaiseSMEChampionsAwards2014

27 oct. 2014

Étudiants d’élite : pourquoi tant d’erreurs d’orientation ?



Vous êtes étudiant dans une université ou une école d’élite ?
Et vous vous destinez le plus naturellement du monde à une carrière en banque d’investissement, dans le consulting ou un autre métier très élitiste. Si tel est votre cas, les observations de William Deresiewicz, ancien professeur à l’université de Yale, devraient vous intéresser…

Son nouveau livre, ‘Excellent Sheep’, revient en détail sur le thème de son premier ouvrage, publié en 2008 – à savoir qu’une éducation dans les plus grandes écoles ne fait pas tout. Plus précisément, Deresiewicz considère que le temps passé dans une brillante institution est susceptible de vous rendre réticent à la prise de risques et de vous pousser dans les bras, grands ouverts, des banques d’investissement et des cabinet de conseil en stratégie – peu importe qu’ils vous offrent ou non la meilleure carrière en terme d’accomplissement personnel.

« Le système fabrique des étudiants intelligents, pétris de talents et déterminés, certes, mais aussi inquiets, timides et déboussolés, en manque de curiosité intellectuelle », avance Deresiewicz. Ceux qui sortent de ce système d’éducation élitiste ont « un sens très limité de leur motivation, poursuit-il. Ils sont bons dans ce qu’ils font, mais ils n’ont aucune idée de pourquoi ils le font. »

Pour lui, le problème provient d’une aspiration erronée. Les étudiants d’élite sont passionnés, mais leur seule passion est celle de la réussite. Il ajoute : « Grandir au sein d’une élite signifie au premier chef apprendre à se valoriser en fonction des critères de réussite qui jalonnent leur progression au sein de l’élite et vers ses sommets. Les notes, les résultats, les récompenses, voilà ce que l’on salue et ce que l’on apprécie chez vous. Vos parents vous encensent, vos enseignants sont fiers de vous, vos concurrents rament ». Il en résulte une forme de « crédentialisme », c’est-à-dire une croyance selon laquelle les diplômes assurent que les meilleurs candidats seront affectés aux meilleures places. La finalité de la vie devient ainsi rien moins que l’accumulation de médailles ou autres récompenses.

La pression familiale ne fait qu’aggraver le problème. « L’entrée des enfants dans un établissement prestigieux équivaut à décerner aux parents une mention Très Bien. Une forme de positionnement marketing de la famille dans son ensemble en quelque sorte », en déduit Deresiewicz.
Un « excellent mouton » entre dans la banque ou le conseil

Deresiewicz précise que les étudiants des meilleures formations sont tellement accros à la reconnaissance sociale qu’ils en deviennent réticents à la prise de risque et donc à tout ce qui pourrait fragiliser leur statut d’élite. Et pour perpétuer ce statut, quoi de mieux qu’une carrière en banque ou dans le consulting ?

« Wall Street l’a parfaitement compris : les grandes écoles produisent en nombre des diplômés aussi intelligents que désemparés. Les jeunes disposent de grandes capacités mentales et d’une incroyable éthique de travail, et mais n’ont pas la moindre idée de leur futur métier », observe-t-il. C’est pratique, les banques d’investissement recherchent exactement les mêmes dispositions que les grandes écoles – intelligence, application, énergie, aptitude – et les critères clés dans le monde du travail sont très similaires : « analyse rigoureuse, intégration de formes d’information disparates, communication claire et efficace ».

Néanmoins, les étudiants d’élite qui s’orientent tels des zombies dans ces professions élitistes ne prennent pas le chemin de leur accomplissement personnel. Ils ne font en réalité que différer leur crise d’identité.

Quelques conseils aux étudiants d’élite désireux de choisir la bonne carrière

Comment les plus performants qui refusent la prise de risque peuvent-ils éviter la routine des élites ? Deresiewicz propose quelques conseils pratiques :

1. Optez pour une année de césure qui ne contribuera pas à enjoliver votre CV et ne vous donnera aucune raison de fanfaronner sur Facebook… « Pourquoi ne pas prendre une coloc pourrie avec quelques potes et gagner votre vie avec un job à mi-temps ? »

2. Faites un break pendant vos études.

3. Faites un break après vos études.

4. Donnez-vous le temps de réfléchir (en évitant le piège de l’excès inverse).

5. Rappelez-vous que l’école n’est qu’un début.

6. Passez du temps avec des gens qui n’ont pas fréquenté les grandes écoles et qui pourtant sont heureux et satisfaits de leur vie. Deresiewicz cite en exemple « Eunice », une ancienne étudiante de Yale entrée chez Morgan Stanley, puis partie pour un job quelconque à Shanghai. Elle a trouvé là-bas « un méli-mélo de gens…Beaucoup n’avaient pas fréquenté les meilleures écoles, mais ceux-là étaient bien plus heureux que ses anciens camarades de promo », souligne-t-il.

Il est intéressant de constater que les conseils de William Deresiewicz aux étudiants d’élite d’une vingtaine d’années diffèrent radicalement de ceux du Dr. Meg Jay,la psychologue clinicienne spécialiste de la santé mentale de cette même tranche d’âge. Pour elle, cette troisième décennie constitue un passage essentiel de la vie – pas question de se laisser vivre dans un taudis avec une bande d’individus qui se cherchent, c’est le moment de poser les fondations pour le long terme. « Ne soyez pas de ceux qui constatent désabusé : ‘j’ai presque trente ans et je n’ai rien fait de ma vie – mon CV de jeune diplômé était bien plus vendeur qu’il ne l’est aujourd’hui », dit-elle. Rien d’étonnant donc à ce que Goldman Sachs ait fait appel à elle, et non Deresiewicz, pour motiver ses jeunes banquiers.

Source: efinancialcareers

Cory Nieves, 10 ans, entrepreneur à succès


Cory Nieves a à peine 5 ans lorsqu'il décide d'acheter une voiture à sa mère. Il a en assez de prendre le bus scolaire dans le froid. Devant chez lui, le petit garçon du New Jersey (Nord-est) installe un stand de chocolat chaud. Son business est lancé. Cinq ans après, Cory Nieves est à la tête d'un petit empire gourmand : "Mr. Cory's cookies". Chaque semaine, il vend des milliers de biscuits.

Au fil des années, le jeune garçon est devenu un phénomène médiatique aux Etats-Unis. Il a même été invité au célèbre show d'Ellen DeGeneres. Car en plus d'avoir un sens incroyable des affaires, son style inimitable en fait une icône de mode. Cravate rouge ou nœud papillon, blaser trendy, mocassins : sur les plateaux télévision, l'enfant dandy surprend lorsqu'il raconte sa fabuleuse ascension...

Un style inimitable

Les chocolats chauds vendus devant sa maison ayant un franc succès, il décide d'ajouter à la vente des gâteaux fait maison. Puis invente avec sa mère de nouvelles recettes de cookies. A chaque fois, les clients sont au rendez-vous. En 2012, Cory Nieves et sa mère passent de la cuisine familiale à la cuisine commerciale : ils louent un local, ouvrent un site internet. "Nous utilisons des pépites de chocolat, de l'avoine, des raisins ou du beurre... Nos ingrédients sont bios et n'ont pas des noms farfelus à l'origine inconnue", explique l'entrepreneur en herbe à Ellen DeGeneres.

Evidemment, l'enfant n'est pas autorisé à travailler. Mais il aide sa mère tous les samedis et est à la tête de la stratégie marketing de la petite entreprise. Avec l'argent récolté, il espère pouvoir financer ses futures études à la célèbre université de Princeton. Et peut-être se lancer dans une nouvelle aventure : la mode.

Source: metronews

CONCOURS DE RÉDACTION SUR L’INNOVATION AGRICOLE EN AFRIQUE



Le Forum pour la recherche agricole en Afrique (FARA) organise un concours de dissertation sur l’innovation agricole africaine. Un concours destiné aux étudiants inscrits à des programmes d’agriculture dispensés dans les institutions tertiaires africaines.


Il s’agira pour les candidats de rédiger un texte sur « le rôle de l’innovation agricole dans la création d’une sécurité alimentaire en Afrique ». Les textes de 500 mots pourront être écrits en français ou en anglais. Pour être éligible, les participants doivent être étudiants à temps plein dans un établissement d’enseignement supérieur africain, à savoir les Universités, les écoles Polytechniques et les Instituts de Formation.

Le concours n’est pas ouvert aux étudiants d’origine africaine étudiant en dehors du continent africain. Les dissertations seront présélectionnées par un vote public sur Facebook et la sélection finale se fera à l’aide d’un panel d’experts.

Le vainqueur sera désigné le 6 Novembre 2014 et recevra son prix en Afrique du Sud, au cours d’un évènement organisé par le FARA. Il sera accompagné pour la circonstance d’un représentant de son Université, à laquelle il sera attribué un certificat de reconnaissance.

A travers cette compétition, le FARA veut apprécier les efforts de ses membres dans le renforcement de l’innovation agricole en Afrique. Date limite de soumission des textes: Jeudi 30 Octobre 2014. Pour plus d’informations, se rendre sur la Page Facebook ou sur le Site Web du FARA.

Source: palmafrique

5000 jeunes Gabonais bénéficient du «Train My Generation»


Le premier partenariat du projet «Train My Generation» a été récemment ratifié à Paris par l’opérateur de téléphonie mobile Airtel Gabon et l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco). Il s’agit d’offrir à 5000 jeunes, âgés de 18 à 35 ans, sur 3 ans, une formation scientifique et entrepreneuriale dans le domaine des technologies de l’information et de communication à travers un fonds-en-dépôt d’une valeur de 4,3 millions de dollars.
100 enseignants en sciences du secondaire recevront également une formation en ligne. Ils utiliseront par ailleurs leurs compétences, pour fournir une assistance en ligne à 15 000 élèves du secondaire préparant leurs examens de fin d’année. Des groupes plus restreints d’élèves apprendront à développer des applications pour téléphones portables, gérer des cyber-cafés et mettre en place des centres coopératifs de maintenance à travers le projet «Train My Generation : Gabon 5000».
L’accord signé par la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova et le directeur général d’Airtel Gabon, Olivier Hervé Njapoum en présence de l’ambassadeur du Gabon auprès de l’institution onusienne, Gisèle Memiaghe Ossakedjombo-Ngoua, prévoit, dans un premier temps, la création de cyber-centres équipés de serveurs et d’ordinateurs dans des écoles de Libreville, Port Gentil, Oyem, Bitam, de Franceville et, Lambaréné.
Créé lors de la 2ème édition du New York Forum Africa, le Fonds «Train My Generation» se présente comme un mécanisme efficace de lutte contre la pauvreté et le chômage des jeunes en Afrique. D’autant que la jeunesse constitue 60% de la population du continent et que 50% des jeunes sont sans emploi.
Source: gabonreview

26 oct. 2014

Comment stimuler l’innovation en Afrique ?



Dans une étude intitulée « Entrepreneurship matters : empirical evidence on innovation », Oasis Kodila Tedika, économiste à l’université de Kinshasa (République démocratique du Congo) et Pierre Garello, économiste à l’université d’Aix-Marseille (France), expliquent pourquoi entrepreneuriat et innovation sont indissociables. Selon eux, si l’Afrique accuse un retard en la matière c’est parce que les conditions permettant l’éclosion de l’esprit d’entreprendre ne sont pas encore réunies.

1) Pourquoi l’Afrique accuse-t-elle un tel retard en matière d’innovation ? Quels sont les freins principaux à l’entrepreneuriat sur le continent ?

Oasis Kodila-Tedika : D’après la conclusion d’une étude récemment réalisée avec mon confrère Pierre Garello, le retard africain s’expliquerait par beaucoup de choses. Nous avons établi en effet une relation positive et statistiquement significative entre l’entrepreneuriat et l’innovation. Ne pas disposer d’entrepreneurs rime avec inexistence de l’innovation. Cette étude met aussi en avant le fait que l’intelligence et l’environnement institutionnel formel sont indispensables pour créer les conditions favorables à l’éclosion de l’innovation.

D’après nos conclusions, l’innovation est faible en Afrique, non parce que les personnes capables d’innover n’existent pas, mais plutôt parce que l’on ne permet pas à l’esprit d’entreprise d’éclore. En effet, les « institutions du marché » favorisent cet esprit d’entrepreneuriat parce qu’elles instituent une certitude sur la règle, bannissent l’incertitude sur le droit de propriété, réduisent les coûts de transaction et accroissent la « vigilance au profit ». Autant de facteurs indispensables à l’expansion de l’entrepreneuriat. Or, l’Afrique, d’une manière générale, ne se distingue pas positivement sur ce terrain, en dépit des relatifs changements encourageants enregistrés ces dernières années.

Selon le classement de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), en matière d’environnement institutionnel (composante de l’indicateur se basant sur la qualité de la réglementation, la stabilité politique et le climat des affaires), le pays africain qui a la note la plus élevée est l’Ile Maurice qui obtient la note de 78,8 sur 100 et occupe la 24ème position sur 141. Mais dans le top 50, l’Afrique ne recense que cinq pays : l’Ile Maurice, Botswana (31ème), l’Afrique du Sud (39ème), la Tunisie (49ème) et la Namibie (50ème). De plus, le dernier quartile des pays mal classés est essentiellement africain. Il n’est pas étonnant que « l’esprit d’entreprise» ne soit donc pas totalement au rendez-vous.

Si d’une part, l’esprit d’entreprise est le propulseur de l’innovation, il faut, d’autre part, un environnement institutionnel adéquat et des capacités humaines ad hoc. Pour l’environnement institutionnel, on est en présence d’un cercle vertueux en ce sens qu’il permet l’éclosion de l’esprit d’entreprise et qu’en même temps il génère l’innovation qui crée les nouvelles opportunités pour l’esprit d’entreprise. Les produits Apple de Steve Jobs ont par exemple pu être des innovations qui ont poussé leur créateur (et d’autres) à vouloir les utiliser comme tremplin pour d’autres innovations. Mais cela n’a été possible que parce que l’environnement institutionnel américain garantissait le droit de propriété. C’est malheureusement le contraire en Afrique où la recherche des rentes dissuasives (corruption généralisée, etc.) pose de sérieux problèmes aux investisseurs et entrepreneurs.

Enfin, il y a le rôle de l’intelligence car il faut une dose d’intelligence pour créer. Si d’une part l’intelligence est l’œuvre de la génétique, elle n’en est pas moins aussi l’œuvre de l’environnement comme le reconnaissent unanimement maintenant les psychologues. Or, l’Afrique ne propose toujours pas le meilleur environnement pour l’expansion de « l’intelligence ». Selon la composante de l’indicateur OMPI (organisation mondiale de la propriété intellectuelle) mesurant le capital humain et la recherche, la Tunisie est le pays africain ayant la note la plus élevée (38/100) mais elle n’occupe pourtant que la 60ème position sur 141…

Par ailleurs, l'une des qualités des institutions est d'encourager l'esprit d'entreprise ou de faire en sorte que l'esprit d'entreprise soit tourné vers des activités marchandes plutôt que vers des activités politiques ou de survie. C'est là un point qui n'est pas suffisamment souligné et que notre étude met en exergue. Notre étude empirique rappelle de plus que l'entrepreneuriat est fortement lié au développement.

2) Comment développer l’entrepreneuriat en Afrique ? Comment changer l’environnement institutionnel ?

Oasis Kodila-Tedika : Développer l’entrepreneuriat revient à jouer entre autres sur les variables qui l’expliquent. Nous avons présenté une liste, si l’on peut dire, d’un certain nombre de choses mais je tiens à préciser que le chemin n’est pas aussi mécanique que l’on se l’imagine souvent.

Quant au changement de l’environnement institutionnel, la question est posée. Il est vrai que l’on a aujourd’hui une somme de connaissances assez importante, mais elle reste insuffisante pour expliquer d’une manière aussi générale comment changer l’environnement institutionnel de l’Afrique. Autrement dit, quand on propose une réforme institutionnelle, il est d’abord utile de diagnostiquer l’économie en question. L’Afrique est une somme des spécificités trop évidentes pour s’hasarder à proposer une thérapie identique à appliquer partout.
la suite... sur: worldbank.org


22 oct. 2014

LES 9 LOIS FONDAMENTALES DE LEADERSHIP


Le LEADERSHIP ce n'est pas diriger les choses, c'est développer les gens.
C’est un art plutôt qu'un don. Il se travaille. 90% d'un leadership couronné de succès est attribuable au suivi, à la mise à exécution des connaissances selon un plan cohérent. 
Pour y arriver 9 lois fondamentales s'imposent :

La loi des CYCLES et des RYTHMES
La nature est la plus vieille pendule du monde. Le soleil, les saisons et notre propre horloge interne nous disent presque tout ce que nous devons savoir.
Quand manger, quand dormir, quand semer, quand moissonner. Et, tout aussi important, quand se reposer. La première chose qui caractérise un organisme vivant sous le soleil est sa respiration. 
Ce rythme de la respiration est celui inhérent à toute vie sur terre. La croissance d’un groupe ou d’une entreprise suit les mêmes processus cycliques que le changement des saisons. L’adversité est toujours suivie par le répit, tout comme l’obscurité de la nuit est toujours suivie par la lumière du jour.

La loi de l'HARMONIE et de l'UNITE des CONTRAIRES
L'harmonie ne provient pas du savoir mais naît de l'équilibre. L'harmonie, contrairement
à ce qu'on est enclin à supposer, ne réside nullement dans l'absence de passions mais
dans leur maîtrise.
Cette loi fondamentale de l'univers agit aussi bien dans la nature que dans la société
humaine et dans la pensée des hommes.

La loi de la CROISSANCE et de l'ADAPTATION permanente
Cette loi indique que tout est perpétuellement en mouvement, en évolution, en
croissance. Tout bouge mais la vie ne retourne jamais sur ses pas. Cette mobilité
permanente de la vie implique également que tout ce qui a un début a une fin . Toute fin
n'est souvent que le début d'autre chose.

La loi de l'INTEGRITE, de la LOYAUTE et du COURAGE
La loi de l’intégrité, de la loyauté et du courage nous dit que nous avons la possibilité de
choisir tant nos comportements que nos réactions et que l’Intégrité, la Loyauté et le
Courage sont les « ingrédients » de base de tout succès durable, en affaire comme dans
la vie.

La loi de l'ACTION COHERENTE et de l'ABONDANCE
La loi de l’action cohérente indique que le succès extérieur commence d’abord à
l’intérieur de nous-même: celle de l’abondance veut que nous rendions la valeur égale de
ce que nous avons reçu. Dans la nature, toute moisson effectuée selon la loi naturelle
apporte une augmentation, une multiplication des graines plantées à l'origine. Mais une
partie de la moisson doit être rendue à la nature en vue de récolte future. Cette loi
produit les mêmes effets dans la vie.

La loi de la MATURITE EMOTIONNELLE
La loi de la maturité émotionnelle nous encourage à reconnaître, à admettre nos
sentiments mais aussi à ne pas rester bloqués dans un sentiment négatif et à prendre la
responsabilité de nos humeurs. Nous avons toujours le pouvoir de choisir. Chaque
émotion se répercute sur notre état général. Le fait de choisir dissipe la peur, permet de
retrouver la confiance nécessaire pour débloquer beaucoup d’autres potentiels.

La Loi de la PENSEE CREATIVE et de la COMMUNICATION EFFICACE
L'esprit et la pensée obéissent également à des lois naturelles. Ils mettent des forces
naturelles en mouvement et libèrent des énergies naturelles. 90 % environ de notre vie
mentale est subconsciente. Et ceux qui ignorent ce fantastique "réservoir mental"
travaillent avec des limites très étroites.
Les lois de l’esprit entrent en action sous l’effet de nos paroles. Ainsi, toute idée que nous
semons est comme une graine qui va automatiquement faire pousser la plante ou l'arbre
que nous avons semé. Nous récoltons ensuite ce que nous avons semé. Nos pensées ont
un réel pouvoir.

La loi de l'ATTRACTION et de la RESPONSABILITE personnelle
Les grandes forces de l’univers sont des forces « d’attraction ». L’univers n’aime pas être
« poussé ». Pas plus que nous d’ailleurs. La loi de l’attraction nous invite à entourer notre
vie de personnes, de situations et d’environnements propices à la vie que nous désirons
réellement mener.
Adopter une attitude positive, ouverte, sans jugement, ne pas passer trop de temps avec
des personnes défaitistes, voilà un bon moyen d’attirer dans notre vie régulièrement de
nouvelles opportunités. L’attraction est une force naturelle.

La loi de l'AMOUR et du SOUFFLE CREATEUR
Toute réussite, toute forme de bien-être, toute évolution personnelle se nourrit d’un
souffle puissant qui nous soutient même quand nous n’en avons pas conscience. Ce
souffle, c’est l’amour. La loi d’amour nous permet de co-créer notre vie. Elle postule une
attitude de non jugement, une acceptation de toute forme de vie et de toute différence.
L'être humain a besoin de se développer, de se réaliser et de se sentir compris et
apprécié - les gens qui ont ce sentiment donnent généralement de "beaux et bons fruits"

Source:Anne-Christine Robert

21 oct. 2014

14 nouveaux étudiants africains diplômés de « Aggreko »



Le programme « Université Aggreko » poursuit sa formation dans les domaines de l’électricité et de la mécanique, faisant ainsi des techniciens compétents et expérimentés dans toute l’Afrique de l’Ouest.
Quatorze (14) étudiants d’Afrique de l’Ouest et Centrale ont été officiellement diplômés lors d’une cérémonie à Abidjan, en présence des cadres supérieurs d’Aggreko et de CI-Energies

Ces récipiendaires sont issus du Burkina Faso, du Cameroun, du Bénin, du Sénégal, de la RDC, du Tchad et de la Côte d’Ivoire, ont été choisis pour suivre le module d’été du programme.
Ils ont été sélectionnés parmi plus de 400 candidats, après une série d’évaluations menées en mai et juin dans ces sept pays.

Les étudiants ont également découvert les activités d’Aggreko, ainsi que les aspects fondamentaux d’une installation Aggreko.
Au terme de ce programme, les diplômés se verront proposer des opportunités d’accès à l’emploi au sein d’Aggreko, en vue d’occuper des postes techniques et de gestion des projets sur les différents sites Aggreko.

« Aggreko attache une très grande importance à son engagement en Afrique. En identifiant les talents locaux à fort potentiel et en les formant rapidement dans le cadre du programme Université Aggreko, nous sommes en mesure de proposer aux étudiants des opportunités d’emploi et des perspectives d’avenir, tout en veillant à entretenir un vivier de futurs dirigeants très compétents qui seront associés aux projets de notre entreprise », a déclaré Yan Pardailhe-Galabrun, directeur des ressources humaines pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique chez Aggreko.

Et d’ajouter : « Il s’agit également d’une démarche essentielle visant à développer les compétences de la main-d’œuvre locale et à soutenir les communautés au sein desquelles nous exerçons nos activités ».

« En tant que membres de l’une des plus grandes écoles d’ingénieurs d’Afrique de l’Ouest, nous sommes fiers de soutenir l’éducation et l’emploi de jeunes Ivoiriens talentueux, aux côtés de nos jeunes frères et sœurs des pays voisins », a précisé pour sa part, Dr Yao K. Alphonse, directeur de l’Ecole Supérieure des Mines et Géologie à l’Institut national polytechnique Houpouét Boigny (INP-HB).

Ce dernier souligne que le programme Aggreko constitue une initiative remarquable qui ajoute une valeur réelle en apportant de l’expérience et en proposant des emplois aux futurs dirigeants du secteur de l’énergie en Afrique de l’Ouest.

Avec plus de 1,3 GW de puissance actuellement en service dans 25 pays africains, Aggreko est le plus grand fournisseur de solutions rapides d’alimentation électrique temporaire sur le continent.

Après avoir pénétré le marché africain en 1995, Aggreko a établi une présence à travers le continent en installant des centres de services à Lagos, Luanda, Dar es Salam, Nairobi, Johannesburg, Port Elizabeth, Le Cap, Durban et Walvis Bay, avec le soutien de ses pôles régionaux de Dubaï et Paris. Dans le cadre de ses activités en Afrique, Aggreko emploie plus de 700 personnes, dont plus de 90 % sont des ressortissants africains.

Orange lance la 4e édition du Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique




Fort du succès des trois années passées, Orange lance l’édition 2014 du prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique. Cette 4ème édition s’enrichit d’un prix spécial « Orange Partner » récompensant un projet intégrant une application Orange.

encourager l’innovation et l’utilisation des TIC au service du développement

Le Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique récompensera de nouveau cette année les entrepreneurs proposant des produits ou des services qui s’appuient de façon innovante sur les TIC pour répondre aux besoins des populations du continent africain dans des domaines variés comme la santé, l’agriculture, l’éducation, l’énergie, l’industrie ou encore le commerce.
En trois ans, plus de 1 500 projets ont été déposés pour le Prix Orange de l’Entrepreneur Social, reflétant la véritable dynamique entrepreneuriale et le potentiel des télécommunications sur le continent africain.

soutenir l’entrepreneuriat local pour accélérer le développement des pays

Présent dans 18 pays en Afrique, Orange y sert près de 100 millions de clients. Cette présence confère au Groupe un rôle important dans l’économie du continent mais aussi dans son développement, car le numérique peut apporter de nombreuses améliorations dans la vie quotidienne des populations. Orange oeuvre donc pour une meilleure connectivité des territoires et pour le lancement de services mobiles à valeur ajoutée. Le Groupe soutient ainsi les entrepreneurs, les TPE et les PME en favorisant l’accès au financement, l’accompagnement dans des structures d’incubation et l’accès à des outils de développement numérique. Depuis 2010, Orange est partenaire du CTIC Dakar, un incubateur TIC de référence en Afrique de l’Ouest. En avril 2014, l’incubateur CIPME Niger, initié par Orange, a ouvert ses portes à des start-ups dans le domaine des TIC, des énergies renouvelables et de l’environnement.

l’édition 2014 du Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique s’enrichit d’un prix spécial « Orange Partner » dans le cadre de la stratégie d’innovation ouverte du Groupe

Le prix récompensera quatre projets : trois projets avec des dotations de 10 000, 15 000 et 25 000 euros, ainsi qu’un nouveau prix spécial de 10 000 euros qui sera remis au finaliste qui aura utilisé une API Orange.Les quatre gagnants du prix bénéficieront d’un accompagnement de six mois par des professionnels de l’entreprenariat et des TIC et, comme l’an passé, le premier prix se verra offrir par Orange le dépôt d’un brevet dans le pays de déploiement de son projet.
Cette année encore, les internautes pourront élire leur projet préféré en ligne sur le portail d’Orange en Afrique, www.StarAfrica.com. Le lauréat "Coup de Coeur" verra son dossier soumis directement au jury parmi les autres projets finalistes présélectionnés par les experts et maximisera ainsi ses chances de faire partie des gagnants du Prix 2014.

Source: Orange.com

MyAfricanStartUp Abidjan 2014






Tu as créé ta START UP innovante ou tu as l' IDEE DU SIECLE que tu cherches à la faire connaitre à des médias ou investisseurs chevronnés ? Rendez vous le 31 octobre 2014, à #Abidjan, avec HEC Paris où se tiendra l' évenement #MyAfricanStartup.
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L’Idée : soutenir les startups et l’entrepreneuriat en Afrique

L’Afrique est un continent au cœur de l’économie mondiale d’où émergent les business de demain. Cela confirme l’importance de la promotion des entreprises du secteur privé, des entrepreneurs et des startups d’Afrique qui entraînera de nombreuses perspectives optimistes pour le succès de l’Afrique business.

MyAfricanStartUp est une initiative née d'une réflexion partagée avec des dirigeants des plus grandes entreprises africaines et les médias internationaux pour apporter une visibilité aux startups du continent.

MyAfricanStartUp accompagne les entrepreneurs du continent pour accélérer leur croissance, leur expertise et leur rayonnement à l’international. Cette plateforme unique et innovante encourage et fait la promotion de startups et d’entrepreneurs en Afrique sur la base de 2 critères principaux : Innovation et Impact sur la création d’emploi.

Sandra Appiah... Restaurer l'image de l'Afrique



A 12 ans, Sandra Appiah part du Ghana pour émigrer aux Etats-Unis. C’est son expérience des préjugés à l’égard des étrangers qui sera la motivation pour créer sa société.
Celle qui a aujourd’hui 24 ans (en 2014), se rappelle qu’au lycée, les attaques blessantes et discriminantes venaient, de façon surprenante, majoritairement des afro-américains.
« Chaque fois qu’on faisait quelque chose de mal, on avait droit à : « Retourne en Afrique ! », « Retourne dans la jungle », « Tu pues », « Tu vis dans les arbres », etc. Je n’avais aucune idée d’où ces préjugés pouvaient venir car dans mes souvenirs j’avais eu une enfance très heureuse en Afrique », se rappelle-t-elle.
Puis, elle finit par découvrir la raison de l’animosité des personnes qui lui ressemblent : les chaînes comme CNN ou PBS qui, à travers leurs documentaires, véhiculent cette image de l’Afrique. Or, les afro-américains ne connaissent que cette version.
Plutôt que d’accepter cela, Appiah decide de tenter d’y remédier en co-fondant en mars 2011 une société appelée : “Face 2 Face Africa”.
Un mois plus tard, le Magazine Face 2 Face Africa (F2FA) est lancé en ligne, avec pour mission de "restaurer l’image de l’Afrique au sein de la communauté globale». Appiah y tient le rôle d’éditrice-en-chef, ce qui lui permet d’améliorer les relations entre les personnes ayant des origines africaines, tout en plaçant le continent sous des projecteurs progressifs.
Sandra Appiah estime que faute de présenter une autre image de l’Afrique, cette dernière sera toujours perçue de manière négative. La diplômée de l’Université de Syracuse met l’accent sur l’origine commune de tous les noirs, quel que soit le pays où ils vivent.
Sans l’aide de son compatriote et partenaire, Issac Boateng, Sandra Appiah ne serait sans doute pas allée loin. Alors qu’elle travaille sur un projet de film, elle rencontre Boateng, qui est connu dans la communauté africaine comme la personne à connaître pour ce qui touche à la production. En 2008, le duo s’associe, liés par une enfance similaire dans le Bronx.
De 2008 à 2011, Appiah et Boateng plannifient leur stratégie.
Après son passage à la Lincoln University, une faculté historiquement noire, Boateng a la conviction que les stéréotypes que certains afro-américains ont sur les Africains résulte de leur éducation. Ainsi, à l’université, les étudiants sont désireux de connaître l’Afrique et les liens qui les relient au continent. Les parents, sont pour une grande part, responsables de cette attitude ; car ils sont éduqués, sont allés à l’école et ont appris à leurs enfants qu’ils ne faut pas compter sur les médias pour connaître l’Afrique.
Parallèlement, les Africains ne doivent pas non plus se fier aux idées négatives qu’ils ont des afro-américains -la paresse, le fait de ne pas tirer avantage des opportunités à  leur portée, le  fait de ne pas connaître ses origines…- pour permettre l’unité.
Le lancement digital de leur magazine était une étape importante, mais n’était que le précurseur de la version papier, dont le premier numéro a finalement été publié le 8 Décembre 2012, sans investisseurs ou capital majeurs.
Sandra Appiah insiste sur le fait que toute personne qui a un rêve peut le réaliser, sans nécessairement avoir les ressources, mais juste en ayant une idée précise de ce qu’on veut faire ; les ressources adéquates viendront en chemin.
Le magazine est bi-annuel mais Boateng et Appiah entendent augmenter sa fréquence de publication, jusqu’à quatre numéro par an, quand le temps le permettra.
 source:  goodblacknews

LADI DELANO, 30 ANS, NIGERIA, FONDATEUR DE BAKRIE DELANO AFRICA



L’entrepreneur en série de la jet-set nigériane a encaissé ses premiers millions en tant qu'entrepreneur en boissons alcoolisées tout en vivant en Chine. En 2004, à l'âge de 22 ans, il a fondé Solidarnosc Asia, une société de boissons alcoolisées chinoise à l’origine de Solid XS, une marque de vodka premium. Solid XS a réussi à obtenir plus de 50% de parts de marché en Chine et a été distribuée dans plus de 30 villes chinoises, générant dans les 20 millions de dollars de recettes annuelles. 

Delano a par la suite vendu la société à une entreprise rivale pour 15 millions de dollars et investi ses fonds dans son entreprise suivante : le groupe Delano Reid, une société holding de placement immobilier axée sur la Chine continentale. Aujourd'hui, Delano est le premier dirigeant co-fondateur et directeur général de Bakrie Delano Africa (BDA), une joint-venture d’1 milliard de dollars avec le groupe indonésien Bakrie valant 15 milliards de dollars (capitalisation boursière). 

Bakrie Delano Africa sert de partenaire d'investissement au Groupe Bakrie au Nigeria. Le conglomérat indonésien a fourni plus de 900 millions de dollars de fonds à investir au Nigeria et Bakrie Delano Africa est chargé d'identifier les opportunités d'investissement dans les secteurs de la mine, de l'agriculture, du pétrole et du gaz, puis de les mettre en œuvre.

2015 MANDELA WASHINGTON FELLOWSHIP


Young African Leaders Initiative (YALI) 


«Le monde a besoin de vos talents et de votre créativité. Et les États-Unis veulent être votre partenaire». 

Le président Obama invite les jeunes leaders d’#Afrique à postuler pour venir aux États-Unis et participer au programme Mandela Washington Fellowship.

Pour les Jeunes ivoiriens qui souhaitent s’inscrire pour YALI 2015

- Être citoyen ivoirien et résider en Côte d’Ivoire. Toute personne en possession d’un passeport américain ou résidant aux États-Unis ne peut être éligible.
- Parler et écrire parfaitement l’anglais.
- Être âgé de 25 à 35 ans au moment de la soumission de la demande de candidature. Une exception pourrait toutefois être faite aux dossiers jugés excellents de personnes âgées de moins de 25 ans.
- Avoir une expérience avérée dans le domaine du leadership et dans le service public, les affaires ou entrepreneuriat, ou l’engagement civique.
- Démontrer son engagement dans les activités caritatives ou communautaires, le volontariat ou le mentorat.
- S’engager à retourner en Afrique et apporter ses compétences et ses talents pour construire et servir sa communauté.


Posez votre candidature ici dès aujourd’hui: http://goo.gl/wrK4I9

À 23 ans, il gagne 500.000 dollars par an... en tweetant



En profitant de son compte Twitter «@UberFacts», qui comptabilise plus de sept millions d’abonnés, pour passer des messages sponsorisés, le jeune Américain Kris Sanchez gagne de petites fortunes.


Et si 140 caractères suffisaient à vous rendre riche. Si de simples messages postés sur le réseau social de micro-blogging Twitter faisaient de vous un millionaire. Cela paraît fantaisiste, voire irréalisable, mais c’est bien ce qu’a réussi un jeune Américain de 23 ans. Fondateur du compte Twitter @UberFacts, actuellement suivi par plus de 7.2 millions de followers, Kris Sanchez est, selon le site américain Fast Company, à la tête d’un juteux business.

Son compte est défini dans la biographie comme délivrant «The most unimportant things you’ll never need to know» soit approximativement «les choses les plus insignifiantes que vous n’aurez jamais besoin de savoir», en français. Cela donne des petites phrases sur le quotidien, ambiance «feel-good», des informations insolites ou drôles mais effectivement peu utiles, comme: «Michelle Obama est diplômée de Princeton et aun diplôme de droit de Harvard» ou encore «Une étude récente a trouvé que les trolls sur internet ont plus de chances d’être sadiques, psychopathes et narcissiques» . Le succès est au rendez-vous, avec un nombre de followers impressionnant, qui ont permis à Kris Sanchez de faire fortune.

Un compte Twitter, une application mobile, un site internet

Grâce à ce compte, l’année dernière, le jeune homme a gagné plus de... 500.000 dollars. Entre quelques tweets «normaux», Kris Sanchez glisse un tweet sponsorisé contenant un lien vers un site internet. Chaque internaute qui clique sur ce lien rapporte à l’entrepreneur du net entre 1 et 3 centimes de dollars. Sachant que ses tweets ont un lectorat potentiel de plusieurs millions de personnes et que le jeune homme tweete entre 60 à 70 fois par jour chaque jour de l’année, les revenus affluent rapidement. C’est ainsi qu’ÜberFacts est devenu une véritable entreprise.

Kris Sanchez travaille aujourd’hui avec des géants industriels tels que la marque automobile Ford ou la société de production cinématographique américaine Paramount. Les tweets qu’il écrit pour ces sociétés peuvent lui rapporter plusieurs milliers de dollars. À cela il faut ajouter une application, disponible sur iOS, qui, toujours selon Fast Company, lui rapporte plus de 60.000 dollars par semaine en publicité (une application Androïd est en développement). Kris Sanchez possède également un site internet où il vend... des T-shirts.

«J’ai rejoint Twitter pour suivre Britney Spears»

Dans l’article de Fast Company, on en apprend plus sur le personnage. Kris Sanchez a lancé le compte lorsqu’il était étudiant en théâtre à l’université de l’Etat de New York à New Paltz, à 1h30 au nord de Manhattan. Des études qui ne le passionnent pas, et qu’il abandonnera au bout d’un an seulement. Pour tuer le temps, il se met alors à «chercher des faits/anecdotes sur internet», ce qui le pousse à s’inscrire sur Twitter.

«J’ai aussi rejoint Twitter pour suivre Britney Spears» admet Kris à Fast Company. «Mais je n’avais rien à tweeter. Donc je me suis dis que tweeter ces faits serait une bonne idée.» Le jeune homme a ensuite développé une réelle stratégie autour de son activité de «twittos» professionnel. Quoi tweetter, quand tweeter..Le tout pour toucher plus de personnes et attirer toujours plus de followers, jusqu’à ce que son compte prenne de l’ampleur.

Aujourd’hui, l’entrepreneur est installé à Los Angeles, et ÜberFacts représente désormais une petite équipe de quatre personnes (principalement constituée de ses meilleurs amis et colocataires). Pour le futur, Kris Sanchez prévoirait de faire un livre de ses tweets, voire une émission de télévision ou un calendrier.
Source: lefigaro.fr

le Master Class HEC Executive MBA à Abidjan



Le 25 Octobre prochain, se tiendra dans la capitale Ivoirienne le Master Class HEC Executive MBA .
En marge de cette journée d’information essentiellement destinée aux cadres africains déterminés à accélérer leur carrière à mi-parcours de leur vie professionnelle.

Nous profitons pour vous montrer comment cette prestigieuse institution poursuit son expansion dans le monde et particulièrement en Afrique.


HEC « La stratégie et le leadership au cœur de la pédagogie. »
Formation destinée à l’élite, L’Executive MBA HEC (Executive Master in Business Administration) offre une expérience hautement internationale avec diverses nationalités présentes. Les spécialités développées( Luxury, Aerospace & Aviation, Energy, Digital & Telecom Business , Services, Entrepreneurship & Innovation, Reinventing Business for Emerging Markets, Global Business Perspectives) sont offertes sur 5 sites (Paris, Doha, Shanghai, Pékin et Saint-Pétersbourg) par des experts de renommée mondiale .


Des ambitions en AFRIQUE
Le jeudi 17 janvier 2014 lors du forum franco-ivoirien, un contrat de partenariat entre l’école des Hautes études commerciales (HEC) et le patronat ivoirien (CGECI) à été signé.
HEC Paris compte ainsi développer des programmes d’accompagnement et de formation à destination des administrations publiques, des organisations patronales, des entreprises internationales et des filières agricoles.


HEC ALUMNI, Un puissant réseau
Fondée en 1883, l’association compte environ 45 000 diplômés (dont 7000 à l’étranger et de 107 nationalités). depuis le début du programme en 2010, plus de 40 000 offres d’emploi partagées chaque année (dont les offres du marché caché), 7500 jeunes hors poste bénéficient de tous les services HEC Alumni . Une véritable aubaine pour les leaders africains tenter d’évoluer au sein de multinationales qui sont pour la plus part dirigées par des membres du réseau afin de faciliter et accélérer leurs carrières.